En ce qui concerne le PRSE, il s'agit effectivement d'une décision locale, lors de la déclinaison territoriale du PNSE, de ne pas s'appesantir sur des actions purement techniques, qui sont d'ores et déjà prises en charge par telle ou telle politique. Il a été décidé localement de se recentrer sur l'animation et la création d'un réseau d'acteurs. C'est effectivement une volonté des services qui l'ont bâti. Nous avons été suffisamment persuasifs pour convaincre le préfet et le directeur général de l'ARS d'aller dans ce sens. L'ARS et la DREAL, ainsi que la direction régionale de l'agriculture, de l'alimentation et de la forêt (DRAAF) et le rectorat, ont été entièrement d'accord sur cette approche. Ce sont les services travaillant au niveau du comité de suivi du PRSE – la cheville ouvrière qui a travaillé sur le sujet.