Permettez-moi de prendre l'exemple de la recherche sur le microbiote, très développée en France, notamment dans les centres hospitaliers universitaires (CHU) de Lyon et de Lille. Quoiqu'il ne s'agisse pas d'une recherche dont l'objet est directement les perturbateurs endocriniens ou les obésogènes, cette recherche intègre l'effet des obésogènes sur le microbiote.