Oui. Nous proposons aussi que certains de ces produits chimiques perturbateurs endocriniens ayant un effet sur la maladie soient détectés. Au-delà de l'étiquetage, nous souhaitons que l'on informe par le biais de campagnes, afin d'expliquer que certaines crèmes, par exemple, mises sur le ventre des femmes enceintes, prédisposeront les enfants à l'obésité. Aujourd'hui, ces informations ne seront pas sues si elles ne sont pas dites.