Notre crainte, ainsi que celle du BRGM, était initialement qu'un transfert se soit effectué de l'ancien site industriel à l'école qui se trouvait potentiellement en aval hydraulique du site. Notre méthodologie était donc principalement axée sur l'étude de la possibilité d'un transfert de polluants, via les eaux souterraines, qui pourraient remonter par les gaz du sol ou le réseau d'eau potable. Toutes nos mesures visaient à répondre à cette question scientifique. L'étude a finalement démontré que l'école se trouvait en latéral hydraulique et que les gaz de sol ne comportaient aucun polluant issu de l'ancien site, hormis des traces très faibles. Nous n'avons pas trouvé non plus de traces de polluants industriels dans les salles de classe ni dans les logements à proximité du site industriel.