Intervention de le docteur Joël Spiroux de Vendômois

Réunion du jeudi 5 novembre 2020 à 11h30
Commission d'enquête sur l'évaluation des politiques publiques de santé environnementale

le docteur Joël Spiroux de Vendômois, président du Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (CRIIGEN) :

Mme la Présidente, je vous remercie de m'avoir convié à cette audition parce que cette problématique de santé environnementale m'est chère et chère également aux membres du CRIIGEN. Héraclite disait que « L'état de santé de l'homme est le reflet de l'état de santé de la Terre ». En regard de l'état de notre environnement, nous pouvons imaginer que notre santé n'est pas bonne. Hippocrate, quant à lui, affirmait que « L'aliment est ton premier médicament ». Malheureusement, si l'aliment est rempli de résidus chimiques toxiques, il ne sera pas un bon médicament. Je rappelle la définition de la santé environnementale portée par l'OMS depuis 1994 : « La santé environnementale comprend les aspects de la santé humaine, y compris la qualité de la vie, qui sont déterminés par les facteurs physiques, chimiques, biologiques, sociaux et psychosociaux, esthétiques de notre environnement. Elle concerne également la politique et les pratiques de gestion, de résorption, de contrôle, de prévention des facteurs environnementaux susceptibles d'affecter la santé des générations actuelles et futures ». Une très belle définition, dont nous constatons dès maintenant qu'elle n'est pas mise en œuvre. La charte de l'environnement, promulguée en 2005 sous forme de loi constitutionnelle énonce dans son premier article : « Chacun a le droit de vivre dans un environnement équilibré et favorable à sa santé ». Il n'en est pas ainsi dans la vraie vie.

La notion d'environnement n'est pas considérée par nos autorités publiques comme elle devrait l'être, parce que l'environnement est bien plus complexe que ce que l'on nous présente. L'environnement est composé d'abord de l'environnement biologique qui concerne les bactéries, les virus, etc. Nous savons ce que sont les virus et nous savons comment un simple virus peut déstructurer complètement une société ; nous le vivons actuellement. Les humains appartiennent à l'environnement biologique. L'environnement comprend également l'environnement chimique, à savoir les xénobiotiques, présent dans l'air, l'eau, le sol, l'alimentation, et qui nous empoisonnent sans bruit ; l'environnement physique avec le réchauffement climatique et, enfin, l'environnement socio-anthropologique. Ce dernier environnement est fondamental puisqu'en fonction des décisions sociétales, l'accès aux soins est plus ou moins facile, les traitements sont plus ou moins accessibles, etc. Et quoi qu'il en soit, un bidonville ne présente pas les mêmes pathologies qu'un hôtel particulier du seizième arrondissement. Nous constatons actuellement que les décisions sociétales face à la Covid ont un impact. Un autre environnement intègre cet environnement socio-anthropologique, l'environnement cognitif, qui concerne les moyens par lesquels nous appréhendons notre environnement, c'est-à-dire notre culture, les médias, la publicité, l'enseignement. En Europe, nous n'entretenons pas le même rapport avec notre environnement qu'un chasseur cueilleur bantou. Ces distinctions sont fondamentales, ainsi que les aspects comportementaux qui en découlent, parce que l'homme étant un animal adaptable, il peut se protéger ou se mettre dans des situations plus dramatiques.

Selon l'Agence européenne de l'environnement, l'Europe produit trois cents millions de tonnes par an de xénobiotiques. Ces produits se retrouvent dans notre environnement, dans l'air, dans l'eau et c'est ainsi que, selon Hallmann et al., en 2017, 75 % de la biomasse des insectes volants ont disparu en vingt-sept ans. Par ailleurs, le rapport de WWF de 2018 fait état d'une diminution de 66 % en quarante-quatre ans de la biodiversité animale. La même source indique en 2020 que 68 % des vertébrés ont disparu en moins de cinquante ans. Les causes sont naturellement plurifactorielles, tout comme celles des pathologies et nous reviendrons sur les genèses plurifactorielles des pathologies.

Les xénobiotiques et les perturbateurs endocriniens comprennent les bisphénols, les phtalates, les parabènes, les composés perfluorés, les composés phénoliques, les composés polybromés, les dioxines, les PCB, les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), certains métaux lourds (mercure, plomb, arsenic, etc.), les phytoestrogènes, les résidus de médicaments hormonaux, etc. Ce n'est pas pour rien que Mme Nathalie Kosciusko-Morizet a mis en œuvre un plan « résidus de médicaments dans l'eau ».

Des études publiées en 2017 par le centre américain de contrôle et de prévention des maladies (The Centers for Disease Control and Prevention CDC) ont montré que le sang d'importants pourcentages de la population contenait des xénobiotiques. Ce n'est pas tolérable. Le CDC a recherché deux cent quatre-vingt-sept xénobiotiques dans le sang de cordon chez des femmes enceintes : la présence de quarante-sept xénobiotiques a été détectée chez toutes les femmes enceintes testées et les mêmes produits se retrouvent dans le lait maternel. Ce n'est pas tolérable dans une société digne de ce nom.

Ces constats induisent une augmentation des maladies chroniques environnementales, des maladies neurodégénératives, des cancers, des allergies, du diabète, de l'hypertension, de l'asthme. Aux États Unis, l'espérance de vie en bonne santé diminue non seulement en raison des produits chimiques, mais également des difficultés d'accès aux soins qui relève de l'environnement socio-anthropologique que j'évoquais précédemment. Nous constatons également l'augmentation de pathologies touchant la reproduction chez les humains (cancers du testicule, pubertés précoces, malformations congénitales) et les hommes ont perdu 50 % de leurs spermatozoïdes en cinquante ans. Ce n'est pas tolérable.

En 2019, nous avons enregistré 382 000 nouveaux cas de cancers. En 2018, 157 400 décès étaient liés au cancer. En 2017, 1,2 million de malades ont été hospitalisés pour un cancer. Le nombre de cas de cancers a augmenté de 10 % en cinq ans. Ce n'est pas tolérable.

En 2005, un enfant sur cinq cents était atteint de cancer. En 2018, un enfant sur trois cent vingt est atteint de cancer. Ce n'est pas tolérable.

Souvent, lorsque je présente ces statistiques, on me renvoie que les cancers sont désormais plus facilement guéris. Certes, mais dès lors qu'on est obligé de les soigner, cela signifie qu'il est déjà trop tard, c'est-à-dire qu'il aurait été préférable d'éviter la mise en contact de ces enfants avec des produits chimiques toxiques.

Les pathologies dites « chroniques » sont des pathologies environnementales. D'ailleurs mon objectif consiste à faire en sorte que l'intitulé de ces pathologies chroniques devienne « pathologies environnementales ». Cela faciliterait les prises de conscience, notamment de nos politiques, parce que les pathologies chroniques sont souvent considérées comme normales lorsqu'on vieillit. Ces pathologies environnementales mettent en exergue l'incapacité des autorités publiques et des organismes d'évaluation des risques à protéger la santé de la population et de l'environnement.

Il n'existe aucune chaire d'enseignement en santé environnementale dans aucune des facultés de médecine de France. C'est inadmissible. Cette discipline devrait exister. Nos jeunes confrères, nos jeunes internes n'ont alors aucune notion relative aux perturbateurs endocriniens puisque leur cursus ne contient même pas une heure de formation sur ce sujet. En outre, les formations universitaires (les diplômes universitaires – DU – en santé environnementale) sont quasiment inexistantes. Les développements personnalisés continus (DPC), destinés aux médecins déjà installés, proposent vingt et une heures de formation par an, toutes disciplines confondues. Il est donc impossible de former nos confrères sur une problématique aussi vaste. Aucune formation à la santé environnementale ne figure dans le cursus des pharmaciens, des sages-femmes et des infirmières. Des cours d'initiation à la santé environnementale devraient être inclus dans l'ensemble des études supérieures de sorte que chacun ait la notion de l'impact qu'il produit.

Les pesticides, sujet qui fâche le plus, constituent un des chevaux de bataille du CRIIGEN. Le Grenelle de l'Environnement de 2008 a mis en place le plan Ecophyto. Ce plan avait pour objectif une diminution de l'utilisation des pesticides de 25 % en 2020 et de 50 % en 2025. Le 7 janvier 2020, le ministère de l'Agriculture a annoncé les résultats suivants :

– augmentation de 24 % de l'utilisation des pesticides entre 2017 et 2018,

– augmentation de plus de 25 % de cette utilisation en dix ans.

Ces résultats ont été enregistrés malgré le lancement des plans Ecophyto II en 2015 et Ecophyto II+ en 2019. Finalement, la population française se nourrit d'une alimentation pauvre nutritionnellement et riche en résidus toxiques. Ce n'est pas pertinent.

La définition des perturbateurs endocriniens est trop restrictive. Un accord européen a été signé en 2017, mais il est trop restrictif parce qu'il impose non seulement qu'un perturbateur endocrinien perturbe le système endocrinien, mais encore qu'il y ait une relation directe de cause à effet. Cette notion n'est pas pertinente puisqu'elle restreint terriblement la problématique. Les perturbateurs endocriniens se trouvent partout, y compris dans le ventre des femmes enceintes. Dès lors, si un problème survient, nous ne pourrons pas mettre en exergue un produit par rapport aux autres et le lien direct de cause à effet ne sera pas respecté.

Les perturbateurs endocriniens présentent des caractéristiques chimiques particulières. Les petites doses peuvent être plus toxiques que les fortes doses. Surtout – et c'est le point le plus important –, leur dangerosité est maximale pendant la gestation et pendant la petite enfance et induit des impacts sur la puberté, la procréation à venir, l'âge mûr et sur les personnes âgées. Il importe donc de se protéger au maximum de ces perturbateurs endocriniens, en les supprimant de notre alimentation.

Souvent, dans les articles que nous lisons, dans ce que nous entendons à la radio ou à la télévision, voire dans le contenu de nos textes, la population est stigmatisée et les patients sont culpabilisés, notamment s'ils présentent un surpoids, une obésité, qui conduit à les accuser de trop manger. On omet bien sûr de préciser que l'alimentation industrielle contient des polluants, des perturbateurs endocriniens obésogènes, diabétogènes, et d'autres qui limitent la notion de satiété et qui conduisent à grignoter sans cesse. Les causes sont naturellement plurifactorielles puisqu'il n'est évidemment pas sain de manger trop ou trop salé ou trop sucré. Il n'empêche que l'alimentation présentée dans les publicités diffusées à la télévision ou ailleurs contient des polluants obésogènes.

Il en est de même pour la stéatose hépatique (« foie gras »). Initialement, cette pathologie se rencontrait uniquement chez les alcooliques. Désormais, elle est diagnostiquée chez les jeunes parce que les perturbateurs métaboliques favorisent le stockage de graisse au niveau du foie.

Lorsqu'une femme qui approche la quarantaine présente une hypofécondité ou une stérilité, il lui est reproché de ne pas s'en être préoccupée plus tôt. On oublie alors de préciser que, parmi les perturbateurs endocriniens, nombreux sont ceux qui limitent la possibilité de grossesse.

Lorsqu'un patient souffre d'un cancer du poumon, qu'il a fumé pendant ses études et fumait encore dix ans auparavant, on considère qu'il a bien cherché son cancer. Il n'empêche qu'un bon nombre de cancers du poumon sont diagnostiqués chez les non-fumeurs de toujours.

À titre d'autre exemple, un patient malade du Covid sera accusé de ne pas s'être suffisamment protégé, mais on oublie de dire que les produits chimiques toxiques que nous avons ingérés ou respirés, comptent des perturbateurs de l'immunité. Notre immunité diminue avec l'âge, mais elle diminue également à cause des perturbateurs immunitaires et nous contractons plus facilement des pathologies infectieuses.

« Il faut vous protéger », nous dit-on, mais comment nous protéger d'une pollution invisible ? La question reste entière. En toute logique, il appartiendrait à l'État de nous protéger, d'éviter que ces produits chimiques toxiques circulent. Il convient d'agir à la source et non seulement de trouver un remède, mais surtout d'éviter que ces produits polluent la planète. Il importe donc de ne pas confondre la pollution choisie et la pollution subie. Un fumeur choisit sa pollution puisqu'il est prévenu de l'impact cancérogène du tabac. En revanche, lorsque nous respirons l'air à Paris ou ailleurs, nous subissons la pollution et celle-ci est insupportable.

La toxicologie réglementaire s'avère incapable de nous protéger. En effet, elle ne tient compte ni de la bioaccumulation dans les organismes et dans l'environnement ni des mélanges et des « effets cocktail ». L'Ifremer a mené une étude qui démontre l'existence d'une bioaccumulation dans les lacs et dans les estuaires de la Méditerranée, dans la région de l'Étang de Berre, par exemple, et que les « effets cocktail » sont importants parce qu'ils sont presque toujours supérieurs à la somme des effets de chacune des molécules.

Par ailleurs, la toxicologie réglementaire n'intègre pas le fait que, parfois, les faibles doses sont plus toxiques que de fortes doses. Elle ne tient pas compte non plus des effets à long terme et des effets différés, ni des effets transgénérationnels d'origine épigénétique qui consistent en une modification de l'expression des gènes qui peut se transmettre de génération en génération. L'exemple le plus dramatique est celui du Distilbène. Nous sommes à la troisième génération des « enfants Distilbène » qui présentent des malformations néonatales, des troubles psychiques, etc.

La toxicologie réglementaire ne tient pas plus compte du fait que les rats-témoins des tests toxicologiques sont de faux témoins. En effet, le CRIIGEN a mené une très belle étude montrant que les aliments pour rats de laboratoire, prélevés dans cinq continents différents, sont pollués par des pesticides, des dioxines, des PCB, des métaux lourds et aussi des OGM, dans les régions où l'on cultive des OGM. Ces rats-témoins sont déjà potentiellement malades en raison de leur alimentation. Dès lors, lorsqu'on leur ajoute un peu de produits à tester, les différences statistiques ne sont pas suffisamment importantes pour être prises en compte.

Ensuite, l'épidémiologie classique n'est pas adaptée aux pathologies environnementales. L'épidémiologie est une science qui a été mise en place pour suivre une épidémie. Ainsi que le démontre la pandémie actuelle, une épidémie est constituée d'un agent causal et d'une pathologie bien déterminée. Il en est de même pour la grippe, pour l'ensemble des pathologies d'origines bactérienne et parasitaire : c'est très simple. S'agissant des produits chimiques toxiques – et d'autant plus s'ils se présentent en « cocktail » –-, la situation est plus complexe. Il conviendra d'adapter l'épidémiologie afin qu'elle devienne pertinente.

En outre, la toxicologie réglementaire est soumise à l'influence de l'industrie. Cette affirmation ne constitue pas une nouveauté.

Nous avons récemment appris qu'une nouvelle publication du CRIIGEN avait été acceptée dans Toxical Research. Il s'agit d'une approche transdisciplinaire pour un état des lieux et une réforme en profondeur de l'expertise réglementaire dans le domaine de la toxicologie et de la sécurité environnementale. Elle a en effet été écrite par un médecin, un généticien, un écotoxicologue, deux juristes, etc. Je vous invite à prendre connaissance de cette publication dès qu'elle sera publiée sur le site du CRIIGEN.

Je souhaite évoquer plus en détail le premier « effet cocktail », sur la base de l'exemple du Roundup, constitué de glyphosates et d'adjuvants. Le glyphosate est une molécule déclarée « active » par le fabricant qui a mené des études sur des rats pendant deux ans afin d'en démontrer les effets toxiques. L'agriculteur ou le jardinier du dimanche n'utilise jamais du glyphosate pur, mais du glyphosate auquel on a ajouté des co-formulants, c'est-à-dire soit le Roundup, soit d'autres herbicides à base de glyphosate. Nous avons démontré dans une dizaine ou une vingtaine de publications – et nous ne sommes pas les seuls – que les co-formulants sont plus toxiques que le glyphosate seul, alors même qu'ils ne sont pas testés. En 2016, j'ai collaboré à une publication qui démontrait que les co-formulants contenus dans une dizaine de Roundup différents représentaient à eux seuls des perturbateurs endocriniens. Cet exemple est valable pour l'ensemble des pesticides utilisés dans le monde. M. Marc Mortureux, ancien directeur de l'Anses, nous en a fourni une preuve écrite qui figure sur le site du CRIIGEN.

La dose admissible de glyphosate est déterminée à l'issue, d'abord, du calcul de la dose létale pour 50 % d'une population de souris. On calcule ensuite la LOAEL (Lowest Observed Adverse Effect Level), c'est-à-dire la plus faible dose à partir de laquelle des effets sont constatés, et la NOAEL (No Observed Adverse Effect Level), c'est-à-dire la dose maximale pour laquelle aucun effet n'est observé. La NOAEL est ensuite divisée par dix parce que les rats ne sont pas des humains, et encore une fois par dix parce que la population humaine compte des sujets plus fragiles que d'autres. In fine, la NOAEL est divisée par cent afin d'obtenir la dose journalière admissible (DJA). Force est de reconnaître que cette division par cent ne repose sur aucun élément scientifique. Toutefois, en tenant compte du postulat selon lequel le mélange glyphosate plus co-formulants, c'est-à-dire le premier « effet cocktail » des pesticides, est bien plus toxique que le glyphosate tout seul, on conclut que la DJA, une DJA protectrice, devrait être de dix à mille fois inférieure à la DJA officielle. Ce constat vaut pour l'ensemble des pesticides autorisés dans le monde, et pour les « effets cocktail », en particulier. Nous sommes donc très mal protégés, même par les bases de la toxicologie réglementaire. Cela fait l'objet de formations que je dispense aux médecins s'agissant des pesticides et de la toxicologie réglementaire. Ils en sont tous stupéfaits.

En conclusion, une refonte totale de l'évaluation toxicologique s'impose, non seulement une refonte de l'organisation structurelle des agences, mais également une refonte des protocoles d'expérimentations toxicologiques parce qu'ils ne mettent pas en exergue les produits chimiques toxiques. En effet, si la toxicologie réglementaire en vigueur depuis soixante-dix ans était apte à nous protéger, nous n'assisterions pas à un tel développement des pathologies environnementales. Cette refonte doit être réalisée avec une impérieuse nécessité de transparence. J'insiste sur la transparence parce que les tests toxicologiques préalables à la mise en utilisation de produits chimiques toxiques tels que les pesticides notamment, sont réalisés par les fabricants eux-mêmes et les résultats sont transmis par les industries aux agences d'accréditation. En outre, les études réalisées sont considérées comme propriété intellectuelle de l'industriel et puisqu'elles ne sont pas communicables, il s'avère impossible d'étudier les résultats. C'est une catastrophe parce que cela manque de transparence, d'indépendance et ne fait l'objet d'aucun débat contradictoire.

Le XXe siècle a été celui de l'hygiène bactérienne, le XXIe siècle doit impérativement devenir le siècle de l'hygiène chimique.

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