L'un de vos propos m'a profondément choqué, M. Pérot. Vous avez en effet indiqué qu'il allait très probablement se produire un nouvel accident nucléaire dans le monde. Le fait d'être à 50 % de nucléaire dans le mix énergétique en France plutôt qu'à 75 % ne changera rien de ce point de vue : si l'on suit votre logique, il faudrait, pour éliminer ce risque, arrêter tout de suite l'ensemble du recours au nucléaire.