Nos interlocuteurs indiquent que la dépréciation immobilière n'existe pas : c'est contraire au bon sens. J'ai déposé précédemment au dossier une note rédigée par « Demeure historique », consistant en une étude sur des décisions de jurisprudence, qui montre qu'il existe couramment des dépréciations de l'ordre de 40 %.