. Cela n'est pas contradictoire. C'est moins lié au fait que les prix bougent dans l'année, qu'à l'incertitude à moyen et long terme, laquelle vaut pour tous les actifs longs, voire beaucoup d'autres secteurs de l'économie. Je me permettrai de nuancer le mot de « subvention ». Quand, au Brésil ou au Moyen-Orient, un appel d'offres prévoit des prix garantis, qui ressortent à 20, 25 ou 30 euros le mégawattheure, comme c'est le cas en Inde, j'appelle plutôt cela un système de régulation et d'appel d'offres public qu'un subventionnement. Dans nos systèmes électriques, compte tenu de la baisse du coût des renouvelables, il est efficace de lancer ces appels d'offres.