Je suis d'accord, mais je reste persuadé que le débat doit être plus large que le sujet principal. Certes, nous évoquons un ressenti et il n'y a pas de solution parfaite. Seule une somme de solutions imparfaites permettra d'avancer et d'améliorer la situation. Mais « ce qui compte ne peut pas toujours être compté et ce qui peut être compté ne compte pas forcément », pour citer Einstein. Cette phrase illustre parfaitement notre débat. Avec la DGEC et Bercy, il faut que chaque élément entre dans la bonne case. Mais tout n'entre pas nécessairement dans les cases.
Il me semble que le rôle des parlementaires est aussi de faciliter la transition vers un changement de monde. C'est en ce sens que j'évoquais l'importance de l'analyse du cycle de vie, en identifiant les externalités positives et négatives. La solution parfaite n'existant pas, avançons dès que nous en trouvons une meilleure.