Nous étudions actuellement la loi d'orientation sur les mobilités (LOM), dans laquelle nous incluons les projets innovants autour de la mobilité propre. Le coût de l'acceptabilité sociale est un fort sujet de tension, en particulier avec la crise que nous venons de vivre en France. En l'occurrence, la LOM vise à apporter des mobilités propres et durables dans les territoires le plus souvent exclus – 80 % d'entre eux n'étant même pas couverts par une autorité organisatrice des mobilités.
Dans la biométhanisation, avez-vous approché des collectivités ou des départements, dans les milieux ruraux, pour leur apporter une solution alternative pour la réceptivité du déplacement ?