Je dirai juste deux choses : dans cette commission d'enquête, nous avons un très grand biais qui est métropolitain. Si nous avions une réflexion plus poussée sur les territoires d'Outre-mer, là où le réseau n'a pas la qualité qu'il a en métropole, l'ensemble des questions que nous nous posons seraient plus essentielles et même stratégiques. Nous ne pouvons pas complètement l'enlever d'une discussion lorsque nous la portons à l'Assemblée nationale.
Deuxièmement, il faut entendre la question de cette transition. Il y a ceux pour qui il faut l'accélérer, qui sont d'ailleurs de très loin les plus grands consommateurs. Pour tous les autres, la question d'accompagnement se pose.
Enfin, sur cette question d'accompagnement, on parle de technologie mais pas de formation. On n'a plus le temps de le faire mais cette transition est aussi de nature à réduire les coûts d'achat d'énergie à l'étranger et à les transformer par de l'emploi en France.