C'est une question que l'on me pose régulièrement. C'est en tant que citoyenne informée que j'ai entrepris cette démarche. Le moratoire a trouvé son origine dans le fait que nous avons été confrontés au même problème, et que, sans concertation préalable, nous nous sommes demandé ce que nous devions et pouvions faire, et dans quel cadre nous pouvions agir.
J'ai rédigé le moratoire après avoir lu la loi de transition énergétique, ce qui m'a amenée à penser que quelque chose n'allait pas dans le mode d'implantation des éoliennes, et qu'il n'était pas normal que le territoire n'ait plus la main sur cette transition ; alors même qu'elle pourrait lui être profitable.