Les plateformes numériques sont très au point, celles qui pratiquent la vente de financement participatif disposent de systèmes de vigie, et les gens qui commercialisent ce type de produits pour leur clientèle font des placements financiers sur des biens pour d'autres personnes. C'est une forme de diversification du placement patrimonial sur des taux de retour différenciés, mais qui sont aussi d'un très bon rapport. Des gens qui possèdent des portefeuilles dans des financements participatifs ignorent où est investi leur argent ; c'est leur gestionnaire de biens patrimoniaux qui réalise les opérations.
C'est un des écueils que nous constatons : ce qui au départ était voulu par le législateur comme une modalité d'appropriation territoriale est complètement dévoyé.