D'accord. Des start-up, dans les nouvelles technologies, connaissent des taux de progression importants, mais toutes les entreprises ne passent pas de 500 000 euros de capital social à un capital de 50 millions d'euros, dix ans plus tard, avec 122 millions d'euros de réserve. Nous enquêtons plutôt sur le sujet public. Vous disposez d'appels d'offres. Il y a des tarifs de rachat, des appels d'offres. Il y a un débat aujourd'hui pour savoir s'il faut aider ou pas cette filière. On nous dit de ne pas supprimer les aides parce que les projets ne sont pas assez matures et ne pourraient pas se faire. En parallèle, une entreprise nous dit qu'en dix ans, dans ce système, elle a réussi à mettre de côté 122 millions d'euros de réserve. Spontanément, cela plaiderait plutôt en faveur d'un arrêt de ces aides pour laisser ces entreprises faire leur miel, puisqu'elles en ont les moyens capitalistiques.