Je n'ai pas d'appréciation particulière à apporter sur Jacques Barthélémy, que je connais un peu, puisque j'ai passé vingt ans dans le corps préfectoral avant de rejoindre RES. Je lui laisse la liberté d'avoir formulé un avis sur un projet qui par ailleurs est ancien, n'appartient pas et n'a jamais appartenu à notre société. Nous pourrons vous donner une contribution écrite pour éclairer cela. C'est pour être bien clair là-dessus.
Étant en charge des relations avec les autorités publiques locales, notamment les services préfectoraux et les services déconcentrés de l'État, je peux vous assurer que la concertation est véritablement le maître mot dans notre développement. Les autorités de l'État sont prévenues très en amont. Elles sont tenues au courant de l'instruction, avant même le dépôt du dossier. Il y a des échanges permanents. C'est véritablement une méthode de travail.
Par ailleurs, puisque vous avez parlé des méthodes de l'éolien, je suis mandaté par les deux directeurs généraux ici présents auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, comme le correspondant de RES pour les questions relatives à la déontologie et aux rapports que nous pouvons entretenir avec les décideurs publics, qu'ils soient élus ou fonctionnaires de l'État. Nous nous sommes dotés des outils prévus par la loi pour respecter les méthodes de prospection, de développement, d'approche, de concertation et de dialogue, respectueuses des uns et des autres.