Si vous me le permettez, je souhaiterais intervenir, car nous entendons beaucoup la rapporteure et moins les personnes auditionnées.
Vous avez indiqué, madame, qu'il s'agissait d'un problème humain. Bien entendu, la question de l'acceptabilité est un problème humain, de fait. Or il est avéré qu'il y a un problème d'acceptabilité de ces machines, quelle qu'en soit la raison, irrationnelle ou rationnelle.
D'ailleurs, des sociologues travaillent sur cette question, mènent des études comparatives à grande échelle. Si vous souhaitez des noms, je peux vous en citer. Un laboratoire de Genève, par exemple, a mené un gros travail sur ce sujet. Des travaux de mise en perspective, avec des territoires beaucoup plus matures dans la transition énergétique, ont déjà été menés et sont très intéressants.