. Cela veut dire qu'on peut se permettre d'attendre jusqu'à 2040 avant de la remplacer, sinon il faudra tout changer d'un coup pour atteindre la neutralité carbone. Il en est de même, pour les infrastructures de transport, pour les véhicules. Finalement, c'est l'ensemble de l'économie qu'il faut verdir et par seulement regarder les 40 milliards d'euros d'investissement vert. Il est question de ne pas tuer le gisement, mais pas seulement.