Effectivement, mes collègues, sur le terrain, ne le vivent pas bien. Il s'agit de professionnels de l'éolien, qui ont une vie personnelle et familiale et dont les noms et prénoms sont indiqués sur des blogs. Les responsables de projet sont traités de commerciaux, mes collègues – et moi-même –, qui assurent des permanences publiques d'information, sont traitées d'hôtesses ; nous sommes sans arrêt dénigrés.