Avant de passer la parole à M. Granger, qui souhaite réagir aux propos de M. Merlin, j'ajoute une question, car je n'ai pas bien compris pourquoi l'intermittence compliquait la tâche, même si, intuitivement, quelque chose me dit que, dès lors que les éoliennes se détachent automatiquement du réseau en cas d'accident, plus il y a d'éoliennes, plus cela risque de se produire. En d'autres termes, n'y a-t-il pas le risque, si un accident intervenait – par exemple du fait d'une mauvaise coordination –, que l'on ait subitement besoin non pas de 17 gigawatts mais de 30 ou 40 gigawatts ?