Je pense que, pour le photovoltaïque, la contrainte est beaucoup moins prégnante que pour l'éolien.
Pour apporter une nuance à ce que disait Henri Granger – je le connais bien et nous nous estimons mutuellement –, il me semble que les interconnexions modifient un peu les choses. C'est pour cela que le Danemark, où le taux de pénétration des énergies intermittentes, notamment de l'éolien, est bien supérieur au nôtre, réussit à maintenir sa stabilité. C'est la même chose pour le Portugal.