Les choses sont encore plus compliquées que cela, parce que nous ne jouons pas tous dans la même cour : si, en France, la puissance appelée pendant l'hiver se situe aux alentours de 85 000 mégawatts, et que l'ordre de grandeur est comparable pour l'Allemagne – même si c'est un peu moins –, l'Espagne est à 45 000 ou 50 000 mégawatts. Nous n'avons donc pas les mêmes problèmes. En revanche, le taux de stabilité, lui, est le même dans chaque pays. On ne peut donc pas tout mettre dans la même bassine, si je puis dire.