La situation est en effet difficile. Les fronts technologiques et du bâtiment sont relativement séparés et j'entends par ailleurs beaucoup parler de contraintes réglementaires, sur lesquelles je me renseignerai.
Contrairement à ce que j'ai dit tout à l'heure, le stockage de chaleur est possible à l'échelle des saisons. Nous l'avons d'ailleurs démontré sur le site de l'INES, où un bâtiment méditerranéen est devenu quasiment autosuffisant en matière thermique.
L'intérêt principal du stockage thermique, c'est qu'entre un « bidon », d'un côté et, de l'autre, des processus chimiques, il est possible de couvrir un large spectre. Nous avons montré à l'INES que l'hydratation et la réhydratation d'un sel est possible au long cours.