Monsieur l'Ambassadeur, la Biélorussie est le seul pays du continent européen à ne pas faire partie du Conseil de l'Europe. Si nous ne nous faisons pas d'illusions sur les perspectives d'abandon de la peine de mort tant que le pouvoir actuel sera en place, pensez-vous que la société civile et l'opposition biélorusses soient prêtes à rapidement abolir cette sanction prohibée par les standards du Conseil de l'Europe ? Ce serait là une étape essentielle en faveur de l'adhésion du pays à l'Organisation.