Pourquoi n'est-il pas possible de considérer les dépenses exceptionnelles mais durables que communes et EPCI doivent engager en raison de la crise comme des dépenses d'investissement, faisant l'objet d'une compensation de TVA ?
À long terme, peut-on accorder des emprunts à de faibles taux aux collectivités, pour les encourager à investir dans des domaines ayant des retombées locales immédiates pour les entreprises et l'emploi ?