Bruno Le Maire a indiqué qu'il était en discussion avec les banques pour que les intérêts dus pendant la période de moratoire ne soient pas facturés. Qu'en est-il ?
Pour les PGE, quels sont les principaux motifs de refus des prêts ? Il semblerait par ailleurs que le critère d'un montant correspondant à 25 % du chiffre d'affaires soit en pratique peu utilisé.
Les entreprises ressortiront de la crise avec un endettement très important, qui pourrait s'étaler sur cinq ans. La mission du président Lemière a pour objectif de déterminer comment il sera possible de transformer certains prêts en fonds propres. Quel pourrait être le rôle des banques dans ce cadre ?
Enfin, disposez-vous de bonnes garanties d'une transposition de l'accord dit de Bâle III qui permettrait d'éviter une approche trop standardisée dans l'appréciation des fonds propres ? Quels doivent être les points de vigilance ?