Une privatisation rampante de l'ONF est en marche, au détriment de ses agents, de moins en moins nombreux. Est-ce cela que de le conforter dans son rôle structurant pour la filière ?
L'exploitation de plus en plus intense de la ressource forestière n'est-elle pas antinomique avec sa préservation ?
La valeur ajoutée de la production forestière n'est pas toujours localisée sur le territoire concerné. Comment lutter contre ce phénomène, qui nous fait exporter du bois brut pour importer du bois transformé ?
Enfin, la forêt capte le carbone mais ne procure aucun avantage aux territoires où elle est située. Quelle recommandation pourriez-vous formuler en la matière ?