La proposition de loi que j'avais déposée il y a deux mois, avec Damien Abad et Christian Jacob, était de nature différente, même si l'objectif était le même : nous proposions la création d'un nouveau risque – et pas par le biais d'un arrêté, car les sommes en jeu sont considérables : le risque est également systémique pour les assureurs eux-mêmes. C'est donc un enjeu particulièrement lourd.