L'EPRUS a été supprimé en raison d'un bilan nuancé (l'objectif était de constituer une réserve sanitaire de 10 000 personnes et elle ne comptait que 2 500 volontaires en 2015) et de la volonté de simplifier l'organisation sanitaire (trois établissements ont été regroupés au sein de l'ANSP).
Les recommandations formulées par le Parlement étaient d'ordre financier et fonctionnel. La commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale et la commission des finances du Sénat avaient en particulier souhaité une stabilisation des moyens financiers dédiés à l'exercice des missions précédemment dévolues à l'EPRUS et que les anciennes équipes conservent une certaine autonomie.