J'entends ce renvoi à l'exécutif, qui s'était engagé publiquement et fortement à soutenir Lourdes, la Corse et les outre-mer. Nous sommes nombreux à l'attendre, car ces mesures sont très importantes pour les entreprises.
Quant aux spécificités géographiques, elles procèdent de situations de fait, comme de l'absence d'un marché intérieur en Corse. Les amendements précédents concernaient plus largement les établissements de plage, comme ceux de la côte Atlantique ou de la côte d'Azur. Sans marché intérieur, la Corse subit de fait une dégradation plus importante de son économie.