L'amendement ne pose pas la question de fond, celle du choix entre un système individualisé, à l'anglo-saxonne, et la familialisation de l'impôt, pour laquelle la France a opté en 1917. Pour revenir dessus, il conviendrait plutôt de présenter un autre dispositif inspiré soit du modèle anglo-saxon, soit du modèle allemand, qui laisse le choix.