J'essaie d'éviter le détricotage des mesures votées dans le dernier PLF, même s'il peut y avoir des exceptions. Je ne suis pas favorable au report. La mesure visait à corriger des écarts devenus trop importants. Il y a quinze ans, l'écart avec le carburant classique était de 2 centimes, quand il est de 14 centimes aujourd'hui, malgré cette hausse. Par ailleurs, n'oublions pas que ces 2 centimes iront à l'Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF), ce qui est d'autant plus précieux qu'elle a perdu bien des ressources pendant la crise.