En région parisienne – le rapporteur général connaît bien la situation –, avec la métropole du Grand Paris, nous faisons l'objet d'un double niveau d'intercommunalité. C'est le second niveau qui lève la CFE.
Une fois les conseils municipaux installés après le second tour, il faudrait que la métropole du Grand Paris se réunisse, puis que les établissements publics territoriaux (EPT) se réunissent à leur tour. Ce sera impossible avant le 31 juillet ! En conséquence, Paris et la métropole du Grand Paris – qui représentent 15 % du PIB français – ne pourront appliquer la moindre diminution de CFE. Pourtant, les restaurateurs, l'hôtellerie et les entreprises du tourisme ont beaucoup souffert en région parisienne.