Nous proposons pour notre part deux options pour accompagner cette suppression. La première consiste à relever à 50 millions d'euros l'abattement qui a été porté à 19 millions sous la majorité précédente. La seconde serait de faire baisser le taux très progressivement, pour l'amener de 0,13 % en 2020 à 0 % en 2024.
C'est un impôt très inefficace, probablement supporté par les plus petites entreprises de ce pays, puisque la taxe est répercutée dans les prix par les grandes entreprises qui ont un pouvoir de marché. Sa suppression soutiendrait la reprise d'activité des petites entreprises.