L'amendement vise cette fois à prolonger la période d'exonération jusqu'au 31 octobre 2021. La reprise est très lente : dans ma circonscription, pourtant en zone verte, l'activité des restaurants ouvriers a baissé des deux-tiers, les festivals qui n'ont pas eu lieu au printemps ne se dérouleront pas non plus l'été et les traiteurs spécialisés dans les grands événements touristiques ne travailleront pas. La date du 31 mai n'est donc pas pertinente. Un décalage jusqu'à la fin de la saison me paraît raisonnable.