Je veux appeler votre attention sur la situation de certaines filières avicoles d'excellence, comme l'élevage de canards et de pigeons à rôtir, destinés aux restaurants et à l'exportation, notamment vers le Japon et la Chine. Les producteurs ne subiront les pertes économiques que dans les mois à venir car d'importants stocks ont été constitués durant le confinement. La vente des prochaines productions n'adviendra pas avant six mois ; d'ici là, les éleveurs n'auront aucun revenu. Cet amendement est sans doute mal rédigé, mais il permet de vous interpeller sur le sort de ces filières d'exception, dont la survie n'est pas certaine.