Ce rapport explique, chiffres à l'appui, qu'en 2030, nous ne serons pas revenus au niveau d'endettement antérieur à la crise sanitaire. Ne pourrions-nous pas réfléchir à un impôt exceptionnel, afin d'éviter cette dette dans le temps long ?
S'agissant des prêts garantis par l'État, ces derniers doivent-ils être analysés de la même manière que les prises de participation des entreprises en haut de bilan, qui sont des nationalisations partielles ?