Je souscris en tout point à vos propos, monsieur le président. Je suis ravi de tous vous retrouver pour mon premier PLF en tant que rapporteur général. Un certain nombre d'amendements sont ce que nous appelons dans notre jargon des marronniers : nous en avons déjà discuté les années précédentes ou dans le cadre d'autres textes parfois récemment. Je me bornerai à des réponses assez courtes – n'en prenez pas ombrage –, car mon avis sur ces marronniers n'a pratiquement jamais changé. Vous pourrez éventuellement relancer le débat de fond sur une politique fiscale en séance, avec le ministre.