Ces deux amendements ont d'abord pour vocation de susciter un débat en séance publique, avec le Gouvernement, sur le niveau de l'endettement et le financement des dépenses liées à la crise. Les ratios d'endettement et de déficit marquent un réel décrochage, en pourcentage de recettes fiscales de l'État, et nous n'avons pas de véritables perspectives de financement dans les trois ou quatre ans à venir. Mais c'est davantage un débat de séance qu'un débat de commission…