Il faut regarder précisément qui souffre de la crise. Il faut concentrer, comme nous le faisons depuis le début de la crise, les efforts de soutien sur les ménages les plus fragiles. Au demeurant, l'augmentation de 0,2 % prévue suit l'inflation hors tabac, comme de coutume. Je rappelle aussi que nous avons réduit de 5 milliards d'euros l'impôt sur le revenu des ménages en 2020, ce qui était inédit. Nous avons démontré notre capacité à réduire la fiscalité des ménages, il faut s'y tenir. Je vous propose de retirer ces amendements, à défaut de quoi j'émettrai un avis défavorable.