J'entends bien, monsieur le rapporteur général, mais nous allons finir par nous demander à quoi nous servons : si nous ne pouvons parler de rien et qu'il est impossible de changer quoi que ce soit, il est inutile que nous siégions ! Je signale quand même qu'en Allemagne, notamment, quatre points de la TVA avaient permis de financer une baisse des cotisations sociales. Ce que nos voisins ont fait, nous ne pourrions pas le faire ? Qu'au moins, on examine la question ! Si l'on se contente de nous rétorquer : « Ce n'est pas compatible avec nos engagements européens », j'ai beau être foncièrement européen, il y a un moment où ça ne va plus le faire.