C'est à l'école de production de Besançon, orientée vers l'industrie, que j'ai vu les progrès les plus impressionnants. Des jeunes décrocheurs, en marge de la société, en échec complet – culturellement, intellectuellement et socialement –, acquièrent en quelques mois non seulement une compétence, mais un emploi. Certes, les effectifs sont très réduits et les conditions de travail privilégiées, mais le saut accompli par ces jeunes est absolument extraordinaire. Je soutiens la demande présentée par M. Rudigoz.