Votre analyse m'étonne. Cette sous-consommation, compte tenu des besoins nécessaires à l'intégration des réfugiés, ne peut s'expliquer que par un dysfonctionnement dont il est de la responsabilité de l'État de se saisir pour faire en sorte, à tout le moins, que ces fonds soient consommés. Avant même l'intégration des immigrés, l'accompagnement et le soutien sont à mes yeux fondamentaux.