J'aurai du mal à retirer un amendement adopté par la commission des affaires étrangères.
Une certification d'ici à trois ans suppose que la démarche soit engagée avant le 31 décembre 2021. Au delà, il faut avoir en tête que nous nous adressons majoritairement, pour deux tiers, à des personnes qui ne sont pas françaises, et à qui les certifications ou les contrats d'objectifs et de moyens de l'État français ne disent pas forcément grand-chose. J'ajoute que la crise du Covid-19 a créé une énorme crise de confiance avec ces familles étrangères, qui constituent pourtant l'essentiel de notre public scolaire. Si nous voulons rétablir cette confiance, ce n'est pas sur des outils internes à l'État qu'il faut compter, mais sur des outils internationalement reconnus et mis au point.