Vos arguments me semblent très pertinents, monsieur le rapporteur spécial. Toutefois, la question se pose exactement de la même manière pour les opérateurs du programme 150 et, plus précisément, pour les établissements d'enseignement supérieur et de recherche, qui ont eux aussi un problème de GVT, à hauteur de 50 millions d'euros. Si l'on veut vraiment être efficace, il faut aussi compenser le GVT pour l'enseignement supérieur.