Le premier amendement vise à augmenter les crédits du programme Enseignement technique agricole de 5 millions d'euros et, le second, de repli, de 3 millions d'euros.
L'enseignement agricole relevant pour partie du ministère de l'agriculture, il se retrouve parfois « entre deux chaises ». Particulièrement inclusif, il accueille un grand nombre d'élèves en difficulté et le taux d'insertion professionnelle y est le plus élevé. De surcroît, cet enseignement ne bénéficie pas du service public de l'École inclusive. Ces amendements visent donc aussi à combler les manques en équivalent temps plein.