Je ne sais pas si l'épisode est terminé, mais, pendant un certain temps, un gros tiers du territoire national – de Marseille à Lyon – n'a pas été alimenté en presse. Vous dites que c'est normal, qu'il faut procéder à une restructuration, mais celle-ci implique une casse énorme, non seulement des emplois, mais aussi de l'outil. Le fait qu'une partie du pays n'ait pu avoir accès à la pluralité de la presse pose de surcroît un problème démocratique.