Le plan de relance ne consiste pas uniquement en une aide ponctuelle, c'est surtout un accélérateur pour transformer les choses. Nous n'allons pas y consacrer 100 milliards tous les ans, nous sommes bien d'accord, 30 milliards sont prévus cette année, mais ils ont vocation à accélérer les changements, pas uniquement à coller des rustines. En matière d'agriculture, d'agroécologie et de forêt, nos efforts permettront de passer à un autre modèle. Les crédits du plan de relance ne doivent surtout pas être négligés.