Je comprends bien la manière dont ces ordonnances seront mises en oeuvre, mais une question reste en suspens, celle de la communication : de quels moyens disposera-t-on pour sensibiliser 10 000 personnes ? J'entends bien qu'il y a les réseaux sociaux. Cependant, les puissances qui portent un projet disposent souvent des moyens financiers de le défendre, alors que ce n'est pas nécessairement le cas des associations de protection de l'environnement : elles ne sont pas toujours en mesure, par exemple, de s'offrir une page dans la presse.
À aucun moment dans ces ordonnances n'apparaît cette dimension des moyens qui seront nécessaires aux citoyens « lanceurs de pétitions » si je puis dire, pour communiquer ou appeler à se rassembler contre tel ou tel projet. Il s'agit selon moi d'une lacune, qui justifie une réponse du secrétaire d'État.
Le 20/07/2017 à 22:41, Laïc1 a dit :
"de quels moyens disposera-t-on pour sensibiliser 10 000 personnes ?"
Effectivement ce chiffre est trop important, il faut le réduire fortement.
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