Monsieur le rapporteur général, vous avez reconnu qu'il y avait une distorsion de concurrence, mais la difficulté est de savoir ce que l'on fait.
N'oublions pas que l'opinion publique s'est mobilisée sur la situation du petit commerce et des grandes surfaces, et qu'elle continue de le faire sur les distorsions de concurrence entre l'e-commerce des grandes surfaces et le commerce physique. Le Parlement doit avoir le courage de prendre cela en compte, d'apporter une réponse et de pousser le Gouvernement, sous peine de voir nos concitoyens se désintéresser des urnes. Adopter l'amendement II-CF1708 permettrait, lors du débat en séance, de pousser le Gouvernement à avancer sur ce sujet.