Monsieur le président, les 260 membres de la fédération sont tous affectés par la crise – à des degrés divers, certes, mais ceux qui assurent les entreprises paient un tribut très important. C'est normal – c'est leur métier d'assureurs –, mais il ne faut pas l'oublier. Il ne leur est pas forcément possible de faire davantage. J'évoque pour ma part les mesures prises collectivement par la profession ; peut-être un geste supplémentaire sera-t-il possible pour certains, mais je ne connais pas de profession qui ait fait autant que celle des assureurs. Les comptes seront compliqués, particulièrement dans le contexte de baisse des taux qui contraindra à reprovisionner…